samedi 15 juin 2013

DU PLUS LOIN QU'IL ME SOUVIENNE

L'ombre ancienne de ce que je ne  connais plus est enfermée
dans le fatras  illisible de mon crane
 étrange valse  neuronale  en mélimélo continu.

Après  quelques années passées à  trier démèler  chercher ,
éviter l'idée de tout stopper pour ne pas me déchirer,
 ne pas m'oublier vivre hors tout souvenir..vivre l'instant présent.

 Aujourd'hui  smartphonie en rouges  de Chine,
 Pivoinies  en éclosion ravies de la douceur du soleil !
 Fleurs de ma maman élevées dans l'ombre fraiche de son jardin.
Chaque jour une nouvelle pousse  , 
une nouvelle idée... cherche à éclore

JG dormez vous dans les plumes de l'INCAL?

JG MOEBIUS ,

Quelques touches cliquées pour blogariser et saluer  
ces volte face  guidées par  Dürer
 Tenter de comprendre le temps et l'heure, en suivant l'anneau de  l'expression des sens...

Observer le  fil graphique cheminer et emprunter les mêmes voies
 demeure une idée obséquieuse, , voilà que le blues  m' enveloppe ... tel un coyote ! et hop avec le cow boy  je galope ,mon nom est Personne ,  je suis Bluemary.

 Le désert est arride , les apaches sont là, je tourne en rond comme disait Desnos en 1939...
LE CHEMIN SUR LEQUEL JE COURS NE SERA PLUS LE MÊME SI JE FAISAIT DEMI-TOUR ! 
no comment !...l'éthique n'est pas qu'une ligne droite ; elle me ramène rarement au même endroit !

 Quand le survol  des rocheuses prend des allures de géométrie stellaire , c'est l'essort de l'imaginaire..
 les dépressions  géologiques  du  Colorado.. le défilé des idées .. le STYX de la création.

   La charge de mes pensée brouille les pistes... je ne  vous suis plus ..rompue de fatigue , mon crane éclate sous le soleil  SEP SEP ce n'est pas un dieu  , celui  qui habite  ma vertébrale colonne. 
Exténuée , je ne renonce pas  à ce chemin il est le bon , nous nous retrouverons !

vendredi 14 juin 2013

A VOL D'OISEAU

Parce qu'il y a toujours des rendez-vous, que seuls les oiseaux savent donner .
 Au travers d' une verrière de restaurant ,exposés dans une  vitrine illuminée 
 deux canards  Polonais en céramique , trônaient .
 Mêmes couleurs , même harmonie qu'assiettes et bols à jamais oubliés.

 Ces oiseaux là ne volent pas , ils  glissent sur la mémoire,...
 je me souviens d'eux , quand en bande ils me suivaient dans les allées du jardin
 au bout  de l'avenue des maréchaux.
 kwac kwac comment s'appellent ces volatiles ? ici  dans ce pays ?
 A tire d'aile , ils suivaient le fleuve pour se reposer là! 
 La Vistule semble endormie et paisible , semblable aux pages des livres d'histoire .
.tels des bras ouverts vers Wars au Sud  et O Vie  au Nord 
après  de grandes plaines tourmentées, agitées , exposées à de terribles  ouragans, violents de haine.

Vents de guerre et vents de plaine , autant de sens apportés par le temps .
 La voie royale demeure le repère de l'histoire  pour se déverser dans l'océan...
 tout comme la somptueuse Loire  "fluant" la Renaissance 
 Exceptionel flux de créations  latine . 

  De source disait Léonard , mais l'ingénieux de Florence voulait se reposer et  clore ses yeux à Lucé, près de François.
 qu'avait-il compris  ? plus que nous ne pouvons l'imaginer !

 Le dessein des hommes oscille sur les cartes de géographie ; l'  héritier du trône de France  devint roi de Pologne portant fier son numéro trois, retour vivace sous influence des Médicis...et pendant ce temps là , François contruit un chateau au bord de son champ...

 Comme les oiseaux je prenais alors mon envol au delà des nuages et de  mon imaginaire.