mercredi 21 décembre 2011

Poster autrechose

        Help ! c'est vous l'auteur de ces ciselures ?
        je ne sais plus à quel lieu je fais référence
        est-ce l'un des lambris du Panthéon , peut-être
         Hum , mais ceux de la cour de Cassation
         à Paris semblent convenir...dites-moi ....

lundi 12 décembre 2011

Vol number One décembre 2011

Coucou, voilà bien longtemps que je ne vous avais vu ....
Ou êtes vous ?Qui êtes vous ?
sur le Tarmac j'ai  vu trop d'avions, les voyageurs s'en vont partout
plus de ticket , plus de destination, je sors du coma chais pas ou .. j'
chue rendue 
.La vie m'a tendu un fil , je tissje tatonne...
vous voyez ? ...

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samedi 13 août 2011

Au delà de moi

Retour après le dernier acte
ils sont en route pour me retrouver..

Aujourd'hui j'ai reçu une carte de Turquie, Mustafa Kemal Atatürk
les yeux à l'abri de sa visière marque de son effigie
les deux timbres à quatre vingt kurus " Lycia via La Rochelle du 5.8.11".

Voilà il me faudra écrire maintenant à Evelyne Hartmann
l'amie de toujours aux effets anthroposophisiques
Mes amies sont loin , autour de la planète
mais elles sont proches de mon coeur à toute heure


mardi 3 mai 2011

No compras pan...Nié rozu miem...

Aucun des textes confiés à son attention et à son regard ne l'intéresse...
Ne pas comprendre demeure le refuge du refus.
Du plus loin qu'il me souvienne, l'ombre de ma vie ancienne induit craintes et suspicions...

Pourtant, nous savons:
Cordouen est issu de Cordoue..
l'invincible Armada est passée par là
mais elle s'est s'est fracassée sur les cotes de la perfide Albion il faudra

attendre un siècle plus tard ,un regard sur Trafalgard qui ne fait figure que sur une place Londonienne
Nelson ne posera sa jambe de bois.. que sur ce souvenir de victoire
peu importe la nature des blessures.....
Patriote ..je me souviens...............pour comprendre lisez les plaques d'immatriculations canadiennes

David et Vigé Lebun portent leur peinture , au travers des regards véritable mémoire des visages, il faut des yeux avertis pour voir..

Confiants nous avons laissé nos cotes à l'érosion à l'ensablage..
Brouage porte la trace de Champlain, ce n'est qu'un petit Cartier
de notre fierté , la vie est belle ,elle relève et recèle de richesses
à plusieurs degrés

lundi 2 mai 2011

LES COMPLAINTES DE RUTEBOEUF NE SONT PLUS .



Parce qu'il m'arrive de fredonner, le vent me vient et m'évente

Joan chante encore à mes oreilles
et Dylan marche près de moi

tirant ma main vers de nouveaux chemins, ceux du lendemain.
Voilà, tu ne me crois pas ou tu ne me lis pas,
j'entends
les accents de Joe quand je passe sur la Garonne....
et plus penser : l'amour est morte.


La terreur est enfouie, je l'entend encore ce matin
je me méfie des braises
qui couvent,
il y a si peu qu'une étincelle perdue pourrait se réveiller....

la violente souffrance des mots n'est plus mon lot,
le temps de payer me semble la juste issue .

Quelques éruptions folles de toute sortes m'ont appris ce qu'est la vie...
Tsunami, tremblements de terre, centrale nucléaire , guerres, des images mortifères des idées révolutionnaires , libertaires , folies judiciaires, agitation électives l'indigestion est proche.


Je plonge dans les eaux du fond de la terre et pose les pieds sur terre...
n'y aurait-il qu'une source d'eau pour laver les restes de Tchernobil qui s'accrochent à moi ?
je ne sais pas,je ne sais pas ,je ne sais pas
vais-je continuer de parler du passé ? je ne sais pas

je ressens un vent de sable qui occulte la lourdeur de la chaleur j'aperçois des minarets de céramique bleues d'un palais jamais approché ,
tellement fatiguée de la route , bordée de serres de nylon blanc
les tomates poussent jusqu'à San José.. Alméria!!....
Un guerrier flamand m'a épousée depuis Bréda
j'appartiens toujours à l'Empire de Charles Quint!

jeudi 21 avril 2011

ellet furent des amies que le vent les porte

Soudain il fallu prendre le bus, s'éloigner, prendre connaissance...du fond de ma mémoire
quelque noms reviennent:
-
Michèle GALKA un grand échala tout maigre venue de Pologne, qui n'osait afronter les pétasses de la classe, je l'aimais bien pourtant sans savoir que plus tard je serais promise à vivre dans son tragique pays... j'entend encore sa voix hésitante, je revois ses bas cachou ses petites bottes de cahoutchouc de plastique blanc...les seules chaussures que ses parents pouvaient lui acheter... la france de l'époque ne souhaitait pas en savoir plus...
- puis une autre déshéritée Martine Gelez très reléguée de toutes et de tous
puis quelque noms faisaient irruption d'un futur que nous ignorions encore:
- Annick MERTZ une fille de l'Est bien calée dans ses chaussures avec le désir d'en " découdre"avec le futur , une lointaine cousine de Patricia KAAS,le vent l'a emporté elle aussi..
-
Marie-Hélène MAINGUY une jolie bretonne qui en plus d'amitié s'est éprise de mon gentil frêre..et s'est inscrit à jamais dans ma fammille.

Nous avions eu deux profs d'anglais au profil exceptionnel: l'une MISS YOUNG typiquely british
puis Melle GARNIER très tournée vers le futur, les échanges,la lecture les discussions ( celle-ci annoncait déja une attiude que je calquerais plus tard!)

mercredi 20 avril 2011

Que sont mes amies devenues ?

Sans situer dans le temps, sans ordre alphabétique , des silhouettes, des voix, des heures, des hommes , des femmes , jeunes et vieux rencontrés au gré de ma vie , appréciés jamais tout à fait ou oubliés , et tant aimés .
Les confins de ma mémoire emportée telle quelle, en moi , pour moi avec eux ...

Les grandes amies d'enfance à l'école primaire :
Françoise.Oeuillard ,nous avons bercé nos poupées quelque jeudis, j'avais huit ans on échangeait Line et Lisette...c'était une gentille fillette au visage rond comme une lune.
Bernadette.Dupéron nous chantions : vent frais frais, vent du matin au sommet des grands pins, aux Andelys "nous les referons ensemble... "au pied de Chateau Gaillard sous l'étendard du roi Guillaume . avec ses soeurs , sa maman gardait les ruines de l'hotel de Bourbon .
Geneviève.Bonneau , " à Vaillant Coeur rien d'impossible"avec les clefs du palais que gardait son papa , agenouillées dans l'oratoire de Macée de Léodepart ou de Lodderpop épouse de jacques Coeur , les premiers flots sur les galées de l'imaginaire ...

Une décennie plus tard, les rencontres fugaces:...
-une fille gatée et pas gatée..qui du haut de ses quatorze ans mis au monde un bébé venu d'on ne sait d'où ...
-une carmen cita la vilaine ,
- une maryvonne feuillatre qui sautait sur les lits avec un père gouverneur de l'hopital... sans plus d'intérêt que les futures dames patronnesses avec force patronage ,vacances bourgeoises en Bretagne..et mariage d'officier pour perspective familiale.
Vilains souvenirs de petites garces qui ne me fréquentait que pour s'afficher avec la première de la classe!

puis de vraies relations:
avec
Bernadette Rodriguez avec qui je partageai gouts et idées, venue habiter la cité "Avaricum puis elle est partie avec ses parents rapatriés je ne sais ou?
une autre bonne copine:
Marie France Picot dont la maman russe nattait ses cheveux autour de la tête, et portait aussi un grand manteau gris dont elle s'enveloppait à la manière des femmes soviétiques de l'époque je les aimait bien , la vie les a éloignées de moi"

mardi 5 avril 2011

LA SUCCUBA INCOGNITA

Un grand sourire, de grands pas, Corto est passé dans mon bureau,
La saveur délicieuse d'une présence,
riche en eau pour activer le moulin de la vie ,le mien!
Incuber en complémentaires, accepter, succomber volontairement,
découvrir les sinuosités innombrables que chaque instant nous reserve.
Variations en la mineur puis en la majeur incessamment irrégulières,
telle l'incompressibilité du flux des jours...
les mots se bousculent, font barrage au poids trainant des tourments
qui courent plus vite que mes jambes absentes..
Souvent la nuit efface la raison, la crainte ,
quand vient la nuit qui nuit à la séduction " succubinale".
Demain, je veux marcher près de lui .

samedi 12 mars 2011

AUTOPROMENADE

Là ,s'étalait un très beau texte
texte échevelé publié oublié

on y parlait de jambes enquenouillées
de semelles encartonnées
de coeur en vadrouille
d'une âme qu
i gribouille

vendredi 4 mars 2011

Derrière la tête et les yeux, le chagrin et la pitié.

A droite du meuble vert d'eau de la salle de bain sous les lavabos
apparait un tiroir plat , brosses et peignes y ont trouvé place....
Ce lieu conçu et choisi pour l'autre par le passé ressemble à celui que j'ai laissé
dans la maison que j'ai abandonné,
peut être ce scénario est-il semblable dans la capitale ou dans un autre pays?
Toutes ces images vues ou inconnues sont souvent présentes
certains diraient obsédantes, ce curieux chemin de la vie est celui des femmes
de tous les sérails orientaux ou occidentaux, clos ou ouverts
Hommes et femmes de tous pays tissent parallèlement des situations quelque peu similaires.
Les rôles alternatifs entre chagrin et victoire sont éphémères.
Il est de bon ton de n'y jamais faire allusion

Certaines bien dotées peuvent acquérir de nouveaux lieux,
d'autres sont perdues et conspuées , la terre continue de tourner

jeudi 3 mars 2011

Aux marches du palais des découvertes

llustrissime Aurore Dupin,

Vous avez choisi l'identité d'un homme d'écriture
pour être éditée , reçue , connue, avoir la permission des auteurs
de romans, de chroniques d'actualité et d'humeurs politiques.
En votre temps , sociologue d'avant garde, journaliste vous traciez
ce que de nos jours nombre de cndidates voudraient se figurer...
mais point n'est femme de lettres ,qui ,s'improviserait..!..
Point n'est suffisant de se vouloir Baronne Dudevant.!


La petite fille découvre la lecture au coin d'un panneau de rue
identifie alors le chemin à parcourir pour user des nourritures intellectuelles.
C'est au travers du Larousse 1895 de ma grand mére
lourd ouvrage relié en cuir souple bordeaux
qu'outre les qualités de la 1ère du Canton qu'elle était, que je commençais à franchir
les lignes de la connaissance, celles des ouvrages à lire, celle de la curiosité utile.
*

Effeuillée de pages tournées ...

Posted by PicasaNée sous l'influence d'un panneau vissé au coin de la rue Littré ..
face à la chambre de mes grands parents
je n'avais pas conscience du sens des mots découverts
ni de leur poids à venir.
A l'aube du savoir lire ,j'étais déjà charmée par l'aspect graphique mesuré
des caractères d'écriture peints sur le rectangle bleu de ma ville.
Maximilien Paul Emile est entré utilement dans ma vie.
Loin de savoir comprendre les mots placés sous ce ce nom,
j'annonais difficilement : historien.. Linguiste .. Lexicographe .. Traducteur ..
que d'efforts lents et rebuttants !
Maximilien , le Lexicographe a dès lors induit différents aspects de ma vie.
mais l'appartenance de ce panneau fut décisive
quand je serai grande je saurai ... et puis et puis...

lundi 28 février 2011

Ces mains à l'heure de la vie

Posted by PicasaL'Améthiste du passé, l'annulaire vide, la montre au poignet
le présent ensoleillé de Saint Xandre décoiffe six décennies
qui vont effacer le temps brumeux de la rue de la Tour d'hier
Les dernières minutes de l'autre temps courent sur le cadran.
dans les rues de la belle Rochelle c'est la voie du nouveau monde
qui gonfle mon coeur de serénité au vent nouveau.

mercredi 23 février 2011

le 17ème parrallèle


Posted by PicasaToute une planète posée sur une table du café de Paris
2004 stries parallèles pour mesurer le temps
pour faire déborder le vase à l'ombre de la tour Eiffel...
.l'attente longue du corbeau qui pleure..
à l'hotel Continental on n'endort pas les erreurs...
Vol de deux verres tomorrow morning,
parachutage au fond de mon sac sur les soies de la nuit
Non je ne me souviens plus du nom des heures perdues
ce dont je me souviens que c'était rien, plus rien.
c'est maintenant pour poser ma brosse à dent et c'est très bien!


mardi 22 février 2011

Sous l' olivier du grand cru

Posted by Picasa
sans sucre l'eau est amère,
avec l'objectif de renverser le verre dans l'image

de pécher au fond des choses
l'Ide rouge qui nage .


vendredi 7 janvier 2011

Du gris du gris des taches de bleu de pluies

Pour élever la chape , tourner les pages avec déterminatipon
il y a des livres qu'il faut ouvrir
quand c'est le moment de les ouvrir
des heures ou il faut tailler balayer bruler nettoyer jeter
le métronome est toujours actif, le temps ne s'arrêtera pas
la météo est toujours inégale
en passe de changer cette planète entêtée
d'Est à l'Ouest du bon temps au beau temps